A l’issue de leur formation, les diplômés de la licence de biologie des organismes :
– maîtrisent les bases de la systématique animale, végétale, et de la mycologie, ce qui les rend aptes à réaliser des inventaires faune/flore ;
– ont acquis des connaissances en pédologie, hydrologie afin d’analyser une structure géologique ;
– connaissent le fonctionnement et la diversité des communautés bactériennes et les techniques de base de la microbiologie permettant leur étude ;
– connaissent et pratiquent les principales techniques de biologie moléculaire (extraction d’ADN, PCR, séquençage) et les logiciels de bioinformatique associés, nécessaires aux analyses de diversité génétique, de génétique des populations ou de phylogénie ;
– maîtrisent les outils de biostatistiques (logiciel R) permettant de structurer et d’analyser les données biologiques en vue de modéliser l’évolution spatio-temporelle des populations ;
– savent analyser le fonctionnement d’un écosystème afin d’établir un diagnostic écologique et préconiser des actions en vue de sa conservation ;
– connaissent les concepts actuels de la biologie évolutive et savent manipuler les outils de reconstruction phylogénétiques à partir de données brutes (morphologiques ou moléculaires) ;
– ont acquis des compétences pluridisciplinaires leur permettant de concevoir et mettre en œuvre en toute autonomie la démarche scientifique appropriée à toute nouvelle thématique qui puisse leur être proposée.
De plus les diplômés ont acquis un certain nombre de compétences transversales :
– ils connaissent et observent les règles de sécurité en laboratoire ou sur le terrain ;
– ils savent rechercher collecter, exploiter une documentation scientifique en français et en anglais ;
– ils savent travailler en équipe pour élaborer des projets pluridisciplinaires ;
– ils savent utiliser les outils classiques de bureautique et utiliser les nouvelles technologies de l’information et de la communication ;
– ils savent élaborer un CV et une lettre de motivation pour décrocher un stage ;
– ils savent rédiger un rapport scientifique ;
– connaissent le milieu professionnel relevant de leur spécialité.